IBM

  • IBM Ă©tend sa famille de compilateurs Cobol

    IBM a annoncé un compilateur COBOL (Common Business-Oriented Language) pour Linux x86. Il étend les capacités et technologies de compilation aux environnements Linux sur environnement x86. Ce compilateur rejoint les deux existants : Enterprise COBOL for z/OS et COBOL for AIX.

    Les environnements mainframe détiennent encore 80 % des données des entreprises dans le monde et 30 milliards de transactions sont effectuées sur ces machines tous les jours ce qui représente 55 % de l'ensemble des transactions dans les entreprises. Les mainframes sont principalement présents dans les grandes entreprises de nombreux secteurs d'activité : finance, transports, assurances, compagnies aériennes... ParallÚlement ces grandes entreprises sont entrepris de vastes projets d'une transformation numérique qui va s'appuyer sur le Cloud et des environnements distribués encore généralement sur des systÚmes d'exploitation fonctionnant sur l'architecture x86. La principale problématique rencontrée par les entreprises réside dans l'offre des fournisseurs de Cloud qui disposent rarement voire jamais de produits à destination des applications en COBOL ou plus généralement sur les environnements centraux comme les mainframes.

    Toujours l'hybride

    Avec ce compilateur, IBM complÚte sa stratégie pour répondre aux besoins de Cloud hybride pour ses clients mainframe, que ce soit pour migrer des applications COBOL dans le Cloud ou pour les rapatrier sur les mainframes. Pour y parvenir, il suffit de réaliser un effort minimal pour faire discuter des applications COBOL à partir de CICS avec des environnements Linux sur x86 ou dans le Cloud. ConcrÚtement, la nouvelle offre relie une base de données DB2 et le systÚme transactionnel CICS afin qu'une application sur un environnement x86 sous Linux puisse parler avec une application COBOL plus ùgée. La solution se complÚte d'un support natif de XML pour aider à la portabilité et obtenir un utilitaire qui permet de migrer des codes COBOL vers des compilateurs COBOL qui ne sont pas IBM. Le logiciel nécessite au minimum Red Hat Entreprise Linux 7.8 et versions supérieures, ou Ubuntu Server 16.04 LTS, 18.04 LTS et suivantes.

  • IBM Ă©tend son offre analytique

    IBM fait feu de tout bois et reprend Envizi, un éditeur de solutions analytiques spécialisé sur els questions environnementales et de gestion de la performance.

  • IBM Ă©toffe son consulting sur le Cloud Hybride

    IBM fait feu de tout bois pour accélérer sa stratégie sur le Cloud hybride et reprend NordCloud, une entreprise finlandaise de consulting sur les projets de Cloud hybride.

    Aucun détail n'a été donné sur la transaction qui devrait se conclure lors du premier trimestre de l'année prochaine. Fondée en 2011, NordCloud réalise 61 M$ de chiffre d'affaires annuel. La société aide ses clients à gérer les infrastructures Cloud, à gérer les incidents sur les tùches de travail et optimiser l'utilisation des ressources dans le Cloud.

    NordCloud propose aussi des transferts de technologies et de formation vers les équipes internes de ses clients. Certifiées sur les plus grandes plates-formes de cloud public, les équipes de NordCloud vont renforcer le savoir-faire d'IBM. AprÚs celui d'Instana, ce rachat marque la volonté de Big Blue d'avancer vite sur son recentrage vers le Cloud hybride et NordCloud va aider à l'adoption des produits de Cloud hybride d'IBM.

  • IBM Ă©toffe son offre d'automatisation

    IBM renforce son portefeuille de solutions d'automatisation en reprenant un Ă©diteur italien d'analyse des processus.

    CrĂ©Ă©e en 2013, myInvenio a dĂ©veloppĂ© une solution d'analyse des processus et de jumeaux numĂ©riques des organisations IT. Le logiciel analyse l'historique des donnĂ©es sur l'exĂ©cution des processus et le comportement des postes de travail. L'outil est conçu pour savoir oĂč appliquer la technologie RPA (Robot Process Automation) pour des prises de dĂ©cisions automatiques et tous les points oĂč l'intelligence artificielle peut avoir un impact sur l'activitĂ© business.

    La solution va intégrer IBM Cloud Pak for Business Automation. L'opération devrait se conclure d'ici la fin du trimestre. Aucun autre détail n'a été donné sur les aspects financiers de la transaction.

    Un Ă©cran de la solution myInvenio.
  • IBM fait Ă©voluer QRadar

    IBM fait évoluer son SIEM vers une nouvelle architecture nativement Cloud conçu spécifiquement pour apporter performance et flexibilité aux environnements hybrides.

  • IBM fait l'acquisition de Randori

    IBM a annoncĂ© lundi 6 juin, avoir fait l’acquisition de Randori, une entreprise spĂ©cialisĂ©e dans la gestion de la surface d’attaque et de cybersĂ©curitĂ© offensive.

  • IBM intĂšgre l’IA dans sa puce Telum

    IBM a dĂ©voilĂ© les dĂ©tails de sa puce du nom de Telum conçu pour apporter l'infĂ©rence du « deep learning Â» aux applications des entreprises afin de lutter contre la fraude en temps rĂ©el.

  • IBM met la main sur HashiCorp

    La firme d’Armonk va dĂ©bourser 6,4 milliards de dollars pour racheter le spĂ©cialiste de l'Infrastructure-as-a-Code. Ses activitĂ©s autour de Red Hat et Watson X seront les premiĂšres Ă  en profiter.
  • IBM partenaire de l'Institut Pasteur

    IBM et l'Institut Pasteur ont mis en place un mécénat de compétences pour accélérer la recherche de traitements thérapeutiques médicamenteux, notamment des maladies infectieuses, grùce à l'intelligence artificielle (IA) et au Cloud Computing.

    Avec plus de deux millions d'articles publiés dans 30 000 revues scientifiques chaque année et une quantité innombrable de briques techniques associés (code source, données techniques, échantillons physiques) accessibles à tous, comme le promeut le mouvement Open Science, il est impossible pour les scientifiques de suivre le rythme. C'est là que l'IA peut aider. En collaboration avec les experts d'IBM à Montpellier, les équipes de l'Institut Pasteur vont construire un modÚle d'apprentissage (Deep learning), entraßné sur la gigantesque banque unifiée de données sur les protéines (PDBe), pour prédire les caractéristiques des molécules qui bloquent les fonctions des protéines impliquées dans diverses pathologies, comme les maladies infectieuses.

    Comme il peut y avoir des milliers de molĂ©cules candidates pour un traitement thĂ©rapeutique potentiel, l'IA filtrera les meilleures correspondances, pour proposer une sĂ©lection de composĂ©s chimiques capables de s'attacher aux protĂ©ines des agents pathogĂšnes. En faisant cela, le processus de conception des mĂ©dicaments pourrait ĂȘtre considĂ©rablement accĂ©lĂ©rĂ©. L'IA aidera Ă©galement les chercheurs Ă  mieux profiler les interactions protĂ©ine-protĂ©ine impliquĂ©es dans le dĂ©veloppement des pathologies, ainsi qu’à mieux comprendre la dynamique des infections dans les cellules humaines.

    Dans ce partenariat, IBM fournit des compétences et des ressources techniques : expertise en modélisation Deep-Learning, accÚs à des serveurs de calcul haute performance et logiciels IBM d'optimisation et de Knowledge Management.

  • IBM partenaire de Mulesoft

    IBM et la plate-forme d'intégration dans le giron de Salesforce signe un partenariat mondial pour le portage de Anypoint Runtime Fabric de Mulesoft sur Red hat Openshift.

  • IBM poursuit LzLabs

    IBM poursuit en justice la société suisse LzLabs pour violation de la sa propriété intellectuelle.

  • IBM rend hybrides les environnements system i

    IBM a rendu publique une nouvelle offre, Power Private Cloud, qui se présente en rack convergent.

    Les serveurs System i sur Power peuvent maintenant devenir hybride avec la nouvelle offre d'IBM PPC ou Power Private Cloud. La solution comprend des serveurs S922 avec des CPU à 20 coeurs, 256 Go de RAM et 3,2 To de stockage NVMe. Un slot supplémentaire accueille un stockage Flash, FlashSystem 5200, avec une capacité de 9,6 To et une paire de switches SAN24B-6 avec 24 ports Fibre Channel chacun. Pour le cÎté logiciel, la solution embarque Red Hat Enterprise Linux 8, IBM PowerVM Enterprise Edition, IBM Cloud PowerVC Manager, Red Hat OpenShift Container Platform (OCP), et Red Hat OpenShift Container Storage (OCS). IBM propose un ensemble optimisé matériel/logiciel pour déployer simplement des applications nativement Cloud dans des environnements de Cloud privé.

    La solution se décline en deux versions, celle précitée, et une version PPC Rack starter plus légÚre qui comprend une configuration avec un simple noeud avec du stockage NFS pour RHEL 8 uniquement, et PowerVM, PowerVC, Red Hat OCP. IBM annonce la possibilité de déployer la solution en 8 heures et assure des performances multipliées par 2 par noeud et une densité de containers par 3,2 comparativement à des architectures x86.

    La solution vise les clients en environnement AIX et System I qui par intégration vont pouvoir déployer des applications nativement Cloud dans des environnement privés ou faire évoluer des applications existantes vers le Cloud pour ceux qui souhaiteraient migrer vers Open Stack.

    Un serveur S922 d'IBM.
  • IBM rend Skillsbuild Reignite libre d’accĂšs

    Big Blue donne le libre accĂšs Ă  sa plate-forme en ligne d’apprentissage Skillsbuild Reignite avec de nouvelles ressources en ligne et des possibilitĂ©s d’accompagnement.  Pour rĂ©pondre Ă  la crise actuelle qu’elle soit pandĂ©mique ou Ă©conomique, IBM annonce aujourd’hui la disponibilitĂ© de sa plate-forme Skillsbuild Reignite pour les entrepreneurs qu’ils soient en activitĂ© ou cherchent Ă  la relancer. Cette plate-forme permettra aux entrepreneurs d'accĂ©der facilement et gratuitement Ă  une sĂ©lection de cours en ligne et Ă  du coaching personnalisĂ© conçus pour les aider Ă  rĂ©inventer leur carriĂšre et leur entreprise. LancĂ©e en partenariat avec des associations en mai dernier la plate-forme permet aux demandeurs d’emploi ainsi qu’aux entrepreneurs en cours de rebond d’avoir accĂšs, via ces associations, Ă  des contenus de formation numĂ©riques, du coaching personnalisĂ© et l’apprentissage dont ils ont besoin pour acquĂ©rir les compĂ©tences techniques et professionnelles requises pour se rĂ©insĂ©rer sur le marchĂ© du travail ou recrĂ©er une activitĂ©. Ils auront dĂ©sormais accĂšs Ă  des contenus et des formations directement ainsi que des webinaires pour dĂ©velopper les compĂ©tences dont ils ont besoin. Certaines formations sont certifiantes. Des salariĂ©s volontaires chez IBM servent de coachs et de mentors pendant la formation. Ceux ayant dĂ©jĂ  suivi des formations sur la plate-forme trouveront de nouvelles options de formation dont le dĂ©veloppement web, la cybersĂ©curitĂ© et la gestion d’infrastructures Cloud et pourront par l’association partenaire accĂ©der Ă  du coaching et de l’apprentissage. Pour les entrepreneurs, des conseils, du coaching et des sĂ©minaires permettent d’approfondir les formations de la plate-forme.
  • IBM reprend l'activitĂ© Copy management de Catalogic

    IBM reprend l'activité phare de Catalogic qui veut se concentrer sur un service de protection des données des applications nativement Cloud.

    Sorti du giron de Syncsort en 2013, Catalogic s'Ă©tait concentrĂ© sur la gestion des copies avec son produit ECX. Ce logiciel se plaçait directement dans les fonctions de snapshot des systĂšmes de stockage et apportait la possibilitĂ© de gĂ©rer des workflows d'automatisation des images. Principalement utilisĂ© sur site, le logiciel a vu son intĂ©rĂȘt dĂ©croĂźtre alors que les entreprises ont massivement migrĂ© vers le Cloud et que les fournisseurs de stockage ont proposĂ© la fonction de gestion des copies de donnĂ©es comme un add-on gratuit. Ce type de solution est principalement utilisĂ© comme argument pour de la vente de matĂ©riels. IBM devrait faire de mĂȘme avec l'intĂ©gration de la solution. Environ la moitiĂ© des effectifs de Catalogic va rejoindre IBM.

    Catalogic va désormais se concentrer sur le développement de sa solution CloudCasa, une plateforme nativement Cloud proposée sous forme de services pour la protection des données des applications dans le Cloud. L'offre visera les équipes DevOps utilisant Kubernetes. Catalogic prévoit de développer des contrÎles de la posture de sécurité pour sa solution.

    Un Ă©cran d'une restauration d'un environnement SAP HANA dans Catalogic ECX.
  • IBM ressort son chĂ©quier

    L'intelligence artificielle au cÎté du Cloud hybride est un piler de la stratégie du nouvel IBM. Pour se renforcer IBM ressort une fois de plus son chéquier en vue de reprendre Turbonomics.

    Turbonomics reprĂ©sente la 11Ăšme acquisition d'IBM depuis l'arrivĂ©e de Arvind Krishna Ă  la tĂȘte d'IBM en 2020. Le montant de la transaction a pas Ă©tĂ© rendu public mais a Ă©tĂ© estimĂ© entre 1,5 et 2 milliards de dollars. L'opĂ©ration devrait se conclure d'ici la fin du deuxiĂšme trimestre de cette annĂ©e.

    Big Blue prévoit d'intégrer les fonctions de gestion des applications et des réseaux de Turbonomics avec les fonctions de la solution Instana d'observabilité des opérations acquises récemment et dans le Cloud Pak for Watson IOPS. L'intégration va permettre d'automatiser des actions d'optimisation des infrastructures sous-jacentes pour assurer les niveaux de performances.

    Un Ă©cran de la solution de Turbonomics.
  • IBM s ’allie Ă  Cohesity

    Les deux entreprises lancent une nouvelle solution en commun, IBM Storage Defender, qui intÚgre les fonctions de protection des données de Cohesity.

  • IBM s'Ă©tend dans les solutions de paiements

    IBM reprend une start-up canadienne, Expertus, spécialisée dans les solutions de paiements.

    Jacques Leblanc, CEO d'Expertus

    Basée à Montréal au Canada, Expertus a développé une solution en ligne de paiements pour les banques, les institutions de crédit et les entreprises. Créée en 2001, la plate-forme d'Expertus traite 50 milliards de dollars de transactions par jour. IBM va étendre sa solution hybride de paiement avec Expertus et transformer les paiements et la gestion de trésorerie avec l'apport de l'intelligence artificielle pour fournir plus de flexibilité en s'adaptant à la versatilité des clients.

    IBM va de plus obtenir d'importantes expertises en consulting pour accompagner ses clients dans la modernisation des paiements qui reste un défi pour de nombreuses institutions financiÚres. Le marché du consulting à destination du secteur de la finance est évalué à 100 milliards de dollars. Aucun détail n'a été donné sur la transaction.

  • IBM se renforce dans l'Ă©cosystĂšme Salesforce

    IBM a prévu de reprendre un cabinet belge de consulting spécialisé dans les environnements Salesforce, Waeg.

    AprÚs le rachat de 7Summits, IBM s'étend encore dans l'écosystÚme Salesforce en reprenant un cabinet de consulting spécialisé dans le domaine. Big Blue vise à prendre une place prépondérante sur le conseil et les services d'intégration autour de Salesforce dont le marché est estimé à 21 milliards de dollars en 2024 par IDC.

    Waeg, créée en 2014, a plusieurs bureaux en Europe : Belgique, Danemark, France, Irlande, Pays-Bas, Pologne et Portugal. Ses services couvrent de nombreux secteurs comme l'automatisation de la fonction marketing et la conception de politiques d'expérience utilisateur ou de stratégie digitale. Le cabinet a reçu plus de 400 certifications avec de nombreuses spécialisations verticales dans le manufacturing, les sciences de la vie et de la santé et le commerce B2B dans les environnements en nuage.

    Les équipes de Waeg vont rejoindre IBM Global Business Services et son entité spécialisée sur les environnements de Salesforce. Aucun détail n'a été donné sur la transaction financiÚre. L'opération devrait se conclure à la fin de ce trimestre.

    Jonathan Daens , partenaire et co-fondateur, et Chris Temmerman, CEO de Waeg.
  • IBM se rĂ©organise en sĂ©parant le cloud hybride des services

    [et_pb_section admin_label="section"] [et_pb_row admin_label="row"] [et_pb_column type="4_4"][et_pb_text admin_label="Text"]Tel HP il y a quelques annĂ©es, Big Blue va se diviser en deux entitĂ©s. IBM conserve ses activitĂ©s dans le cloud, hybride surtout, qu’il considĂšre comme son meilleur levier de croissance, tandis qu’une nouvelle entitĂ©, dont le nom doit encore ĂȘtre trouvĂ©, rĂ©cupĂšrera la couche Managed Infrastructure Services.  IBM va se sĂ©parer de son activitĂ© Managed Infrastructure Services, jusqu’à prĂ©sent intĂ©grĂ©e Ă  la branche Global Technology Services. Ce spin-off devrait avoir lieu d’ici Ă  la fin de l’annĂ©e prochaine. En rĂ©sultera la crĂ©ation d’une nouvelle entitĂ©, dont ne ne connaĂźt pas pour l’instant le nom. Celle-ci doit s’imposer, selon IBM, comme “le leader mondial des services d’infrastructure gĂ©rĂ©s” et se concentrera sur la gestion et la modernisation des infrastructures de ses clients, offrant des services de rĂ©seau, d’hĂ©bergement, de migration...  En bref, les activitĂ©s et le portefeuille de clients existants de la division Managed Infrastructure Services actuelle de Big Blue. Mais avec une relative indĂ©pendance quant Ă  l’infrastructure d’IBM, cette nouvelle entitĂ© promettant “de s'associer pleinement Ă  tous les fournisseurs de cloud”.   En parallĂšle Ă  cette sociĂ©tĂ© nĂ©e de la scission, le gĂ©ant continuera d’exister et se renforcera dans un secteur en particulier, le cloud. Et pas n’importe quel cloud, nous apprend son communiquĂ© : le cloud hybride. Un marchĂ© Ă  1000 milliards de dollars, assure IBM. De lĂ  Ă  voir une prise de contrĂŽle d’IBM par Red Hat, rachetĂ© par Big Blue l’an passĂ©, il n’y a qu’un pas. 

    Spin-off stratégique

    Toujours est-il que le nouvel IBM sera trĂšs largement adossĂ© Ă  Red Hat et Ă  OpenShift. “GrĂące Ă  une intĂ©gration plus Ă©troite et Ă  une concentration sur ses solutions de cloud hybride ouvert et d'IA, IBM passera d'une sociĂ©tĂ© dont plus de la moitiĂ© de ses revenus est rĂ©alisĂ©e dans les services Ă  une sociĂ©tĂ© dont les revenus seront rĂ©currents et issus majoritairement des logiciels et des solutions cloud” Ă©crit l’entreprise.  Pour Arvind Krishna, le PDG d'IBM, “les besoins d'achat des clients pour les services d'application et d'infrastructure divergent, tandis que l'adoption de notre plate-forme de cloud hybride s'accĂ©lĂšre. Le moment est venu de crĂ©er deux entreprises leaders du marchĂ©, axĂ©es sur ce qu'elles font de mieux. IBM se concentrera sur sa plate-forme de cloud hybride ouverte et ses capacitĂ©s d'intelligence artificielle. La nouvelle entreprise aura une plus grande agilitĂ© pour concevoir, gĂ©rer et moderniser l’infrastructure des plus importantes organisations du monde”.[/et_pb_text][/et_pb_column] [/et_pb_row] [/et_pb_section]
  • IBM trompette AIDA

    IBM et plusieurs partenaires lancent un vaste programme autour de l’intelligence artificielle. Avec une vocation mondiale, le projet vise Ă  positionner la France dans une position prĂ©Ă©minente dans l’intelligence artificielle opĂ©rationnelle. Le projet est abondĂ© de 33 M€.

    AIDA (Artificial Intelligence for Digital Automation) souhaite encourager la co-innovation entre les entreprises privĂ©es et la recherche publique. IBM, DecisionBrain, STET et Softeam sont alliĂ©s Ă  Bpifrance et l’universitĂ© de Paris-Saclay pour dĂ©velopper une plate-forme d’apprentissage. Il s'agit d'aider les entreprises Ă  intĂ©grer l’intelligence artificielle dans leurs processus pour amĂ©liorer leur productivitĂ© et les rendre plus compĂ©titives.

    Le projet est dotĂ© d’un budget de 33 M€ dont 12 M€ par le Programme d’investissements d’avenir (PIA), pilotĂ© par le SecrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral pour l’investissement (SGPI) et opĂ©rĂ© par Bpifrance. Le programme s’inscrit dans la stratĂ©gie globale du gouvernement français autour de l’intelligence artificielle qui vise Ă  donner une place prĂ©Ă©minente Ă  notre pays dans ce domaine et maintenir l’emploi dans des secteurs Ă  forte valeur ajoutĂ©e.

    Les entreprises partenaires apportent les cas d’usages concrets sur lesquels travaillent les chercheurs et autres intervenants technologiques. Les collaborateurs de ces entreprises pourront ĂȘtre assistĂ©s dans leurs fonctions quotidiennes par des outils d’aide Ă  la dĂ©cision et par l'automatisation de certaines opĂ©rations (par exemple, la planification de la maintenance, la planification des Ă©quipes, la prĂ©paration de rapports, etc.). 

    La plate-forme vise Ă  mieux gĂ©rer les donnĂ©es Ă  la source des modĂšles d'intelligence artificielle, tout en augmentant la confiance dans l'intelligence artificielle. Le projet est lĂ  aussi pour dĂ©montrer qu’industriels et chercheurs sont capables de travailler ensemble sur des cas concrets et ainsi de diffuser plus largement la culture autour de l’intelligence artificielle dans les entreprises. Les laboratoires de Paris-Saclay trouvent eux des moyens complĂ©mentaires et installent un Ă©cosystĂšme technologique autour de la plateforme AIDA.

     

    Une vue du site de Paris-Saclay.