GitLab

  • GitLab ajoute du Machine Learning à sa plateforme

    GitLab reprend UnReview, une solution de machine learning permettant d'identifier automatiquement les experts en révision de code et de contrôler les charges de travail de révision et la répartition des connaissances.

    La technologie d'UnReview sera intégrée dans les composants de révision de code pour les clients GitLab Saas dès la fin de l'année. Cette acquisition devrait améliorer l'expérience utilisateur au sein de la section développement de GitLab notamment pour les phases de gestion, de planification et de création en optimisant la capacité de l'utilisateur à effectuer des révisions de code correctes en utilisant le machine learning pour recommander des réviseurs de code en fonction de leurs contributions antérieures dans des domaines de code et selon leur charge de travail.

    Cette acquisition marque une étape de plus dans une stratégie d'ajout de l'intelligence artificielle dans les cycles DevOps.

    Nikolay Melekhov, CEO d'UnReview.

  • Gitlab prêt à entrer en bourse

    Grosse période pour la tech sur les marchés financiers. Voici que Gitlab, la pépite du DevOps, annonce avoir déposé son formulaire S-1 auprès de la Securities and Exchange Commission.

  • GitLab publie la 4ème édition de son étude sur le DevSecOps

    GitLab, l’offreur de solutions pour le cycle DevOps, a publié récemment les enseignements de la quatrième vague de son étude sur le DevSecOps. Celle-ci révèle de profonds changements dans les équipes ayant adopté cette méthodologie de développement. L'enquête mondiale DevSecOps de cette année montre une forte augmentation du nombre de praticiens DevOps performants et fait état de délais de mise en œuvre nettement plus courts, d'intégration/déploiement réellement continus et de progrès en matière d'identification et de résolution des failles plus tôt dans le cycle. GitLab constate une disparition des frontières entre les équipes de développement et d'exploitation, puisque 35 % des développeurs disent définir et/ou créer l'infrastructure sur laquelle leur application est exécutée et 14 % surveillent et répondent aux besoins de cette infrastructure. En outre, plus de 18 % des développeurs utilisent le code pour surveiller la production, alors que 12 % font partie de la remontée hiérarchique en cas d'incident.

    Le DevOps en hausse 

    25 % des entreprises interrogées ont déjà entre 3 et 5 ans de pratiques. 37 % sont en bonne voie, avec un à trois ans d'expérience à leur actif. Dans le cadre de cette mise en œuvre, beaucoup reconnaissent également les avantages du déploiement continu : près de 60 % effectuent des déploiements plusieurs fois par jour, une fois par jour ou une fois tous les quelques jours (contre 45 % l'année dernière).

    Une répartition des rôles parfois difficile

    Il existe toujours un écart entre les équipes de développement et les équipes de sécurité, avec une incertitude concernant les responsabilités relatives à la sécurité. Plus de 25 % des développeurs déclarent se sentir seuls responsables de la sécurité, contre 23 % des testeurs et 21 % des professionnels de l'exploitation. Les équipes de sécurité revendiquent la nécessité de plus de clarté, 33 % des membres des équipes de sécurité déclarant se sentir responsables de la sécurité, et 29 % (presque autant) estimant que cette responsabilité devrait être partagée par tout le monde. Les équipes de sécurité considèrent toujours que les développeurs ne détectent pas suffisamment de bugs lors des premiers stades de développement et tardent à les corriger par la suite. Plus de 42 % déclarent que les tests ont encore lieu trop tard dans le cycle de vie, alors que 36 % déclarent qu'il est difficile de comprendre, traiter et corriger les failles détectées, et 31 % trouvent ardu le fait de mettre la priorité sur la résolution des failles. Selon 47 % des répondants, les tests apparaissent comme le principal goulot d'étranglement. 12 % affirment que les tests sont entièrement automatisés. Et, alors que 60 % des entreprises déclarent déployer plusieurs fois par jour, une fois par jour ou une fois tous les quelques jours, plus de 42 % estiment que les tests ont lieu trop tard dans le cycle de développement.

    Des développements plus rapides

    83 % des développeurs déclarent pouvoir publier du code plus rapidement après avoir adopté le DevOps. 38 % déclarent que leurs implémentations DevOps incluent la CI/CD. De plus, 29 % déclarent que leurs implémentations DevOps incluent l'automatisation des tests, 16 % ont déclaré le DevSecOps, et près de 9 % utilisent le multi-cloud. L’étude a été réalisée entre le mois de janvier et le 29 février 2020, GitLab a interrogé plus de 3 650 professionnels du logiciel venant de 21 pays du monde. La marge d'erreur est de 2 % (supposant 26,4 millions de professionnels du logiciel et un degré de confiance de 95 %).
  • Gitlab reprend Opstrace

    La plate-forme de DevOps s’enrichit d’une solution d’observabilité avec le rachat d’Opstrace.

  • IBM et GitLab s’associent et créent un nouveau Cloud Pak

    Les deux entreprises annoncent la création de GitLab Ultimate For IBM Cloud Paks, une solution permettant de déployer dans le cloud hybride des projets DevOps dans n’importe quel langage.

    GitLab et IBM ouvrent GitLab Ultimate For IBM Cloud Pak, un nouveau système de matériels et de logiciels intégrant les fonctionnalités de GitLab, ont annoncé les deux entreprises dans des communiqués de presse respectifs.

    L’ambition affichée est d’accroître les choix, possibilités et l’automatisation des DevOps en incorporant tous les projets fabriqués sous GitLab. Ce nouveau Cloud Pak vise à aider les développeurs à tirer profits de technologies comme le machine-learning ou l’automatisation en utilisant des solutions de cloud hybride.

    « La collaboration entre IBM et GitLab rassemble le meilleur de ce que qui se fait sur le marché en termes de développement de softwares pour aider les clients à réduire leur coût, accélérer leur rendement et améliorer leur qualité Â», a déclaré Michelle Hodges, vice-présidente chez Global Channels.

    IBM avait dévoilé ses cinq premiers Cloud Paks en août 2019 avec Red Hat, entreprise rachetée en juillet 2019 pour 34 milliards de dollars. Il s’agissait de Cloud Pak for Data pour la gestion des données, Cloud Pak for Application pour la gestion des applications, Cloud Pak for Integration pour la gestion de l'intégration, Cloud Pak for Automation pour la gestion de l'automatisation et Cloud Pak Multicloud Management pour la gestion de clouds multiples.