Atos

  • Atos fournira les services essentiels du prochain Euro

    Partenaire de l’UEFA jusqu’en 2030, Atos fournira les services informatiques clĂ©s sur site et Ă  distance lors de l’UEFA EURO 2024, qui se dĂ©roulera du 14 juin au 14 juillet en Allemagne.

  • Atos fournit un supercalculateur Ă  l'UniversitĂ© de Swansea

    Atos a signé un contrat pour la fourniture d'un supercalculateur Bull Sequana X410 avec l'Université de Swansea.

    Le supercalculateur BullSequana X410 est basĂ© sur la nouvelle architecture GPU NVIDIA A100 Tensor Core et le rĂ©seau InfiniBand Nvidia Mellanox HDR 200Gb/s. Il permettra aux universitaires de Swansea et du Pays de Galles de mener des recherches basĂ©es sur des algorithmes de machine learning et de deep learning. La mise en service de ce supercalculateur s'inscrit dans le cadre de la relation existante entre Atos et Supercomputing Wales, un centre d'excellence commun Ă  Atos et Dell partiellement financĂ© par le Fonds europĂ©en de dĂ©veloppement rĂ©gional (FEDER) par l'intermĂ©diaire du gouvernement gallois. 

    Les processeurs GPU Nvidia A100Tensor Core du supercalculateur sont des processeurs parallĂšles conçus pour stimuler le calcul. L'intĂ©gration de huit GPUs dans un format 2U place ce systĂšme au premier rang des solutions de calcul actuelles, en termes de densitĂ© de calcul, de performance et de rentabilitĂ©. La machine tirera Ă©galement parti de la rapiditĂ© des solutions Nvidia Mellanox HDR 200Gb/s InfiniBand, d'une latence extrĂȘmement faible et de moteurs de calcul intelligents.

    Le supercalculateur sera installĂ© dans le centre de donnĂ©es Ă©co-efficient de l'universitĂ© de Swansea, oĂč Atos assurera la maintenance des Ă©quipements et travaillera en Ă©troite collaboration avec les universitaires pour rĂ©pondre Ă  leurs besoins spĂ©cifiques en matiĂšre de recherche. Les universitĂ©s de Cardiff, Aberystwyth et Bangor auront Ă©galement accĂšs Ă  ce nouveau systĂšme haute performance.

    Une vue du campus de l'Université de Swansea au Pays de Galles.
  • Atos livre son simulateur quantique en Espagne

    Atos a fourni son simulateur quantique au centre de HPC Galicien (CESGA).

  • Atos obtient la qualification PDIS

    L’ESN a annoncĂ© hier avoir reçu de l’ANSSI le fameux Visa de sĂ©curitĂ©, qui couvre les activitĂ©s qualifiĂ©es PDIS (Prestataire de DĂ©tection de Incidents de SĂ©curitĂ©).

  • Atos obtient la qualification PDIS

    L’ESN a annoncĂ© hier avoir reçu de l’ANSSI le fameux Visa de sĂ©curitĂ©, qui couvre les activitĂ©s qualifiĂ©es PDIS (Prestataire de DĂ©tection de Incidents de SĂ©curitĂ©).

  • Atos ouvre un 16Ăšme SOC en Europe

    L’ESN a ouvert à Sofia en Bulgarie un 16ùme SOC (Security Operation Center).

  • Atos rĂ©alise 3 acquisitions en une journĂ©e

    Atos a annoncé hier trois acquisitions : Visual BI, Nimbix et Ideal GRP.
  • Atos se lance pour une usine du futur

    Atos annonce aujourd’hui le lancement du projet de construction dune usine du futur à Angers.

  • Atos va fournir le nouveau HPC de la sociĂ©tĂ© Max Planck

    Atos annonce la signature d'un contrat pour le dĂ©veloppement et l'installation d'un nouveau calculateur haute performance pour la SociĂ©tĂ© Max Planck, une organisation de recherche scientifique et technologique de renommĂ©e internationale.

  • Atos se renforce sur les activitĂ©s Salesforce

    L’ESN vient d’annoncer coup sur coup trois rachats. Si Atos met la main sur SEC Consult pour Ă©toffer son offre de conseil en cybersĂ©curitĂ©, il s’empare surtout de deux spĂ©cialistes de Salesforce, le Français Edifixio et l’AmĂ©ricain Eagle Creek.  Atos fait ses emplettes. L’ESN française a annoncĂ© hier trois rachats, aussi bien en Europe qu’outre-Atlantique. Elle jette ainsi son dĂ©volu sur l’Allemand SEC Consult, une entreprise spĂ©cialisĂ©e en conseil en cybersĂ©curitĂ©, et en particulier dans les tests d’intrusion, le red teaming et les Ă©valuations techniques. Forte de 200 experts, la sociĂ©tĂ© germanique opĂšre principalement en Allemagne, en Autriche et en Suisse, avec des implantations en Asie du Sud-Est et en AmĂ©rique du Nord.  “Cette annonce s’inscrit dans la continuitĂ© de nos rĂ©centes acquisitions et dĂ©montre notre ambition de devenir le fournisseur de cybersĂ©curitĂ© de rĂ©fĂ©rence des entreprises opĂ©rant leur transformation digitale” explique Pierre BarnabĂ©, Senior ExĂ©cutive Vice-PrĂ©sident, responsable de la division Big Data & CybersĂ©curitĂ© d'Atos. “L'expĂ©rience de SEC Consult, son personnel hautement qualifiĂ© et sa rĂ©putation sur le marchĂ© viendront soutenir l’équipe d’Atos en Europe centrale”.   Une acquisition stratĂ©gique donc, mais peut-ĂȘtre moins que les deux suivantes. Atos annonce en effet les rachats de Eagle Creek Software et d’Edifixio. Le premier est une sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine de conseil en technologies, tandis que le second, Français, fait lui aussi du conseil et de l’intĂ©gration. Surtout, tous deux sont des spĂ©cialistes de Salesforce, ils en sont mĂȘme “Gold Partners”. 

    Les intĂ©grateurs Salesforce, des proies de choix 

    On compte depuis deux ans pas moins d’une quarantaine d’opĂ©rations de rachat de spĂ©cialistes de Salesforce, parmi lesquelles l’acquisition d’Avanced Technology Group par Cognizant en 2018 ou encore de de Simplus par Infosys plus tĂŽt cette annĂ©e. A propos d’Eagle Creek, Atos Ă©crit que cette acquisition lui permettra “d’enrichir sa connaissance de l’environnement Salesforce afin de repenser et fluidifier l’expĂ©rience client multi-canal”. Quant Ă  Edifixio, fort de 370 consultants et 472 certifications dans les domaines du Cloud et de l’intĂ©gration de Salesforce, il viendra â€œĂ©tendre le portefeuille de clients” d’Atos. “Le Cloud et Salesforce continuent d’ĂȘtre des moteurs de la croissance d’Atos et nous sommes impatients d’associer nos compĂ©tences fortes en dĂ©veloppement et dĂ©ploiement de services digitaux avec l’approche personnalisĂ©e d’Edifixio” explique Yannick Tricaud, directeur gĂ©nĂ©ral Europe du sud d’Atos.
  • Atos sur le fil aprĂšs la condamnation de Syntel

    En juillet 2018, l’ESN française s’attaquait au marchĂ© nord-amĂ©ricain en procĂ©dant Ă  l’acquisition de Syntel. Le rachat de cette entreprise amĂ©ricaine spĂ©cialisĂ©e dans les services applicatifs et principalement tournĂ©e vers les secteurs financiers coĂ»tait Ă  Atos la modique somme de 3,4 milliards de dollars. Le Français va pouvoir y rajouter 855 millions de dollars, montant de l’amende infligĂ©e par la justice amĂ©ricaine Ă  Syntel, reconnue coupable de vol de propriĂ©tĂ© intellectuelle.   Atos, malheureux candidat au rachat de Gemalto, jetait son dĂ©volu sur Syntel. Nous Ă©tions alors en juillet 2018 et l’ESN française se mĂ©nageait une tĂȘte de pont sur le continent nord-amĂ©ricain. Et quelle tĂȘte de pont ! Avec 23000 salariĂ©s, des clients prestigieux notamment dans les secteurs de la finances, de la banque et des assurances parmi lesquels FedEx et American Express, Syntel Ă©tait une cible allĂ©chante. “La trĂšs forte complĂ©mentaritĂ© entre Atos et Syntel en termes d’offre de services, de clients et de gĂ©ographies nous permettra d’accroĂźtre considĂ©rablement notre prĂ©sence en AmĂ©rique du Nord” expliquait alors Thierry Breton.  Mais il y avait anguille sous roche. Ou plutĂŽt procĂšs. Depuis 2015, l’ESN amĂ©ricaine spĂ©cialisĂ©e dans les services applicatifs avaient maille Ă  partir avec son ancien partenaire, TriZetto. Editeur de logiciels oeuvrant dans le domaine de la santĂ©, ce dernier avait Ă©tĂ© rachetĂ© par Cognizant et accusait Syntel, avec qui il travaillait auparavant, de vol de propriĂ©tĂ© intellectuelle.

    Atos l’a mauvaise

    L’affaire a fini devant les tribunaux et, le 27 octobre, le jury du tribunal du district sud de New York a dĂ©clarĂ© Syntel coupable du dĂ©tournement de secrets commerciaux et de la violation de la propriĂ©tĂ© intellectuelle de TriZetto et a condamnĂ© l’accusĂ© Ă  855 millions de dollars de dommages et intĂ©rĂȘts. Il est certain qu’Atos Ă©tait au courant de l’affaire au moment du rachat, mais la pilule a du mal Ă  passer.   Dans un communiquĂ©, l’ESN signale qu’elle a dĂ©jĂ  dĂ©posĂ© une requĂȘte “contestant la validitĂ© des demandes de TriZetto” et en dĂ©posera une nouvelle pour obtenir l’annulation du verdict en sa dĂ©faveur. En effet, Atos soutient que TriZetto ne peut lĂ©galement demander plus de 8,5 millions de dollars dans cette affaire et estime que “le verdict du jury n’est Ă©tayĂ© ni par les preuves prĂ©sentĂ©es lors du procĂšs ni par la loi applicable”. Il se rĂ©serve le droit de faire appel si ses recours devaient ne pas ĂȘtre entendu.
  • Aux bons soins d'Atos

  • Aux bons soins d'Atos

    Atos propose maintenant la solution Cyber Recovery en partenariat avec Dell Technologies.

    Cyber Recovery est un programme de bout en bout de retour à la normale aprÚs une cyber-attaque. L'offre se présente sous la forme d'un jeu de technologies et de services qui identifie les actifs les plus critiques, qui automatise la protection des copies de sauvegardes dans un coffre sécurisé. Tous les jeux de données sont analysés par un logiciel qui détecte des signaux de compromission sur les données de production ou des sauvegardes. Les entreprises sont ainsi assurées de pouvoir reconstruire le systÚme aprÚs une attaque.

    L'offre se dĂ©compose en trois Ă©tapes avec un audit initial par les consultants d'Atos Cybersecurity qui aide l'entreprise Ă  identifier et organiser les ressources et donnĂ©es importantes qui doivent ĂȘtre protĂ©gĂ©es pour continuer l'activitĂ© en suivant les rĂšgles de gouvernance mises en place et le respect des rĂšgles de conformitĂ© lĂ©gales. Arrive ensuite la mise ne production qui s'appuie sur diffĂ©rents matĂ©riels et logiciels de Dell ( des appliances Dell EMC PowerProtect DD et PowerProtect Cyber Recovery Solution avec CyberSense). Ce dernier composant est le coeur du coffre sanctuarisĂ© pour les donnĂ©es. Atos prend en charge le dĂ©ploiement, la maintenance et le support de la solution et s'assure de son bon fonctionnement au plus vite dans l'existant du client. La solution est disponible immĂ©diatement auprĂšs d'Atos.

    Une appliance PowerProtect de Dell.
  • AWS et Atos renforcent leurs liens

    Lors de la confĂ©rence Re:Invent d’AWS, les deux entitĂ©s ont annoncĂ© renforcer leur partenariat autour de la transformation numĂ©rique des entreprises.

  • Cyllene propose un cloud 100 % français

    Le débat autour de la souveraineté numérique fait rage et s'amplifie réguliÚrement. Cyllene a pris le taureau par les cornes et propose un service de Cloud reposant sur 100 % de composants français... ou presque.

    Pour répondre aux problÚmes d'extraterritorialité des droits américains et chinois sur les données, Cyllene propose un service de Cloud privé s'appuyant le plus possible sur des composants français.

    Dans ses centres de donnĂ©es, l'ESN propose un Cloud privĂ© sur Kubernetes installĂ© sur des serveurs Atos BullSequana S qui combinent dans le mĂȘme environnement des capacitĂ©s informatiques classiques (CPU) avec des GPU.

    La localisation et le traitement des données est réalisé dans les centres de données de Cyllene. Un support 24/7 est assuré depuis les sites en Ile-de-France de l'ESN.

    Un serveur BullSequana S.
  • Hardis Group reprend Sislog

    Jusqu’à prĂ©sent dans le giron d’Atos, Sislog change de propriĂ©taire et rejoint Hardis Group.

  • NĂ©gociation exclusive entre Mitel et Atos pour Unify

    Le fournisseur de solutions de communications annonce ĂȘtre entrĂ© en nĂ©gociations exclusives avec Atos pour procĂ©der Ă  l'acquisition de Unify, la division regroupant les activitĂ©s de communications unifiĂ©es et de collaboration (UCC) et les services de communication et de collaboration (CCS) du groupe Atos.

  • Orange dĂ©ment tout projet de rachat d’Atos

    MalgrĂ© le souhait de la CFE-CGC, majoritaire chez l’opĂ©rateur historique, d’une acquisition d’Atos par Orange de sorte Ă  faire naĂźtre un gĂ©ant capable de concurrencer les GAFAM, le groupe de StĂ©phane Richard dĂ©ment tout projet de rachat, du moins avant le conseil d’administration du 2 dĂ©cembre. 

    Orange vient de rĂ©cupĂ©rer 2,2 milliards d’euros dans la rĂ©solution par le Conseil d’Etat d’un contentieux fiscal. Cette somme suscite bien des appĂ©tits : le syndicat CFE-CGC a le premier mis les pieds dans le plat en suggĂ©rant dans un courrier Ă  l’attention du conseil d’administration de l’opĂ©rateur historique que ces fonds servent au rachat d’Atos. “Une analyse rapide fait apparaĂźtre qu’un mariage avec Atos serait profitable pour les deux groupes avec un fort effet de transformation et de trĂšs bonnes synergies en perspective” Ă©crit le syndicat dans sa missive. 

    Un nouveau gĂ©ant 

    Il ne s’agit pas du seul projet mentionnĂ© dans ce courrier des administrateurs salariĂ©s, qui appelle Ă©galement Ă  ce que le groupe rĂ©compense les efforts de ses salariĂ©s lors de la crise sanitaire par “une prime” ou “un intĂ©ressement exceptionnel”. Mais cette proposition est quelque peu Ă©clipsĂ©e par ce pavĂ© dans la mare qu’est la perspective d’un rachat de l’ESN par Orange. Le syndicat pointe la baisse des investissements en R&D d’Orange et signale que les GAFAM tirent la couverture Ă  eux dans le secteur du numĂ©rique. 

    Il faut donc, selon la CFE-CGC, “inverser la vapeur” Ă  travers le plan Engage2025 et le renforcement d’Orange Business Services. Et pour ce faire, “Atos constitue donc l’exemple d’acquisition pertinente pour le Groupe Orange, avec Ă  la clef un projet de nature Ă  sĂ©duire les investisseurs (certainement bien davantage qu’une promesse de dividende), en ouvrant un futur porteur de perspectives positives pour toutes les parties prenantes”. 

    Orange dément

    La fusion permettrait la naissance d’une locomotive de la cybersĂ©curitĂ© en Europe, mais aussi de peser face aux GAFAM grĂące aux investissements joints en R&D. Notons que le syndicat, aux yeux duquel Atos et Orange se connaissent bien, estime que Elie Girard, directeur gĂ©nĂ©ral d’Atos et ex-cadre d’Orange pourrait bien “à l’issue du mandat de StĂ©phane Richard, en mai 2022, prendre la tĂȘte du nouveau groupe”. 

    La rĂ©ponse d’Orange n’a pas tardĂ©e : dans un communiquĂ©, le groupe “dĂ©ment tout projet d’acquisition d Atos ainsi que son inscription Ă  son prochain Conseil d’Administration”. L’opĂ©rateur historique rappelle que l’utilisation des 2,2 milliards d’euros sera soumise Ă  examen du prochain conseil d’administration et que sa direction vise une redistribution des fonds “au bĂ©nĂ©fice du dĂ©veloppement de l’entreprise, de ses salariĂ©s et actionnaires”. Reste qu’il n’est pas impossible que la proposition de CFE-CGC soit examinĂ©e le 2 dĂ©cembre prochain. 

  • Paul Saleh prend les rĂȘnes d’Atos

    L’ancien directeur financier a la lourde tĂąche de refinancer la dette colossale d’Atos en menant Ă  bien les nĂ©gociations dĂ©jĂ  compliquĂ©es avec les banques et les repreneurs de ses activitĂ©s Tech Foundations (EPEI) et Big Data and Security (Airbus).

  • Renault, pilote du projet Software RĂ©publique

    A l’initiative de Renault, le gĂ©ant automobile s’associe avec quatre entreprises de la Tech française autour de Software RĂ©publique, un nouvel Ă©cosystĂšme europĂ©en pour partager leur savoir-faire autour des thĂšmes de la cybersĂ©curitĂ©, du big data ou de l’intelligence artificielle.

    L’union fait la force dit l’adage populaire. Et face Ă  l’accĂ©lĂ©ration des nouveaux modes de mobilitĂ©, principalement insufflĂ©e par l’attrait des entreprises amĂ©ricaines pour la voiture Ă©lectrique, cinq acteurs europĂ©ens entendent unir leurs forces et prendre le train en marche.

    C’est en tout cas le projet affichĂ© par Software RĂ©publique, un nouvel Ă©cosystĂšme de cinq entreprises qui vise Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  l'Ă©chelle europĂ©enne sur les nouvelles formes de mobilitĂ© de demain. Le projet a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© vendredi 9 denier par son initiateur Luca De Meo, directeur gĂ©nĂ©ral de Renault, et compte parmi ses rangs - outre Renault donc – Atos, Dassault SystĂšmes, STMicroelectronics et Thales.

    Sofware RĂ©publique veut « accĂ©lĂ©rer l’innovation et faire grandir les forces vives de demain »,commente Bernard CharlĂšs,vice-prĂ©sident du conseil d’administration et directeur gĂ©nĂ©ral de Dassault SystĂšmes.

    « Chacun met son savoir-faire au service de celui qui ne sait pas faire. [
] On multiplie les compĂ©tences », a-t-il ajoutĂ© chez nos confrĂšres de La Gazette de Saint-Quentin en Yvelines, la ville nouvelle voisine du technocentre de Renault Ă  Guyancourt dont le nouveau bĂątiment OdyssĂ©e accueillera Software RĂ©publique, en septembre prochain.

    Futur marchĂ© de 11 000 milliards d’euros

    L’un des projets dĂ©voilĂ©s s’appelle Plug And Charge, dont l’objectif est de crĂ©er des bornes de recharge Ă©lectrique intelligente, qui identifieraient la voiture, la rechargeraient, et dĂ©biteraient le compte de son propriĂ©taire sans contraintes.

    Pour l’heure, Software RĂ©publique se dit ouvert Ă  d’autres entreprises, notamment dans les domaines de la communication, des tĂ©lĂ©coms, de l’énergie et des assurances, assure Luca De Meo, citĂ© par Le Figaro. «Nous cherchons en prioritĂ© des acteurs europĂ©ens», ambitionne-t-il.

    Selon le Boston Consulting Group, le marchĂ© mondial de la mobilitĂ© va croĂźtre de 60 % d’ici 2035 pour atteindre 11000 milliards d’euros, rappelle un article des Echos, citĂ© dans le communiquĂ©.