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  • Facebook sous le feu des critiques du gouvernement australien

    Le gouvernement australien est trĂšs remontĂ© aprĂšs la dĂ©cision temporaire de l’entreprise de censurer toute publication d’organes de presse. Le gĂ©ant californien entend protester contre une loi visant Ă  le contraindre Ă  payer des droits auprĂšs des Ă©diteurs.

    Des millions d’Australiens ont Ă©tĂ© privĂ©s d’informations sur Facebook en fin de semaine derniĂšre aprĂšs que les principaux organes de presse et certains sites gouvernementaux aient Ă©tĂ© incapables d’afficher leur page sur le rĂ©seau social.

    Car la panne est en fait la consĂ©quence d’une dĂ©cision prise par Facebook qui a bloquĂ© l’accĂšs Ă  plusieurs organes de presse les jeudi et vendredi 18 et 19 fĂ©vrier, s’attirant les foudres du gouvernement qui a dĂ©cidĂ© en reprĂ©sailles de retirer toutes ses publicitĂ©s du site, lundi 22 fĂ©vrier, ont rapportĂ© de nombreux mĂ©dias.

    « Les actions de Facebook ayant consistĂ© Ă  mettre fin Ă  son amitiĂ© avec l’Australie aujourd’hui, en coupant des services essentiels d’urgence et d’information en matiĂšre de santĂ©, sont aussi arrogantes que dĂ©cevantes »,a commentĂ© le Premier ministre australien Scott Morrison, citĂ© par la correspondante australienne du Monde.

    Face au tollé, Facebook a rapidement rétabli les pages et invoqué une erreur de manipulation concernant certains des sites gouvernementaux affectés.

    Débat autour de la gratuité

    Facebook entend protester contre une loi adoptĂ©e par le Parlement australien qui souhaite le contraindre Ă  rĂ©munĂ©rer les Ă©diteurs des contenus qu’il reprend.

    Le gouvernement australien veut y introduire un code de conduite et rĂ©gulariser les rĂšgles du jeu entre les organes de presse et les gĂ©ants de la Tech comme Facebook ou Google, les deux premiĂšres entreprises concernĂ©es. 52 % des Australiens admettent utiliser les rĂ©seaux sociaux pour s’informer selon le Reuters Digital News Report 2020 lorsque Facebook et Google captent plus de 80 % des recettes publicitaires.

    Facebook considĂšre que « la loi interprĂšte mal la relation entre la plateforme et ses Ă©diteurs Â», a-t-il expliquĂ© dans un article de blog, ajoutant qu’il a Ă©tĂ© laissĂ© face Ă  un choix difficile : « essayer de respecter une loi qui ignore les rĂ©alitĂ©s de cette relation ou couper les services en Australie. Nous avons choisi la seconde solution. Â»

    Facebook s’est trouvĂ© un alliĂ© de choix en la personne de Timothy Berners-Lee, l’inventeur d’Internet et scientifique britannique, qui considĂšre que la dĂ©cision du gouvernement australien de faire payer pour de l’actualitĂ© marquerait un dangereux prĂ©cĂ©dent capable de rendre l’Internet ingĂ©rable, rapporte The Associated Press.

    Également concernĂ© par la loi, Google a acceptĂ© un partenariat avec trois organes de presse australiens tout comme il l'a fait en France en janvier dernier.

  • France : Google condamnĂ© Ă  payer une amende de 2 millions d’euros

    Le gĂ©ant de Mountain View a Ă©tĂ© condamnĂ© pour pratiques commerciales abusives envers des dĂ©veloppeurs d’applications mobiles.

  • Gestion des APIs : Google lance Apigee X

    Google annonce une nouvelle version de sa plateforme de gestion des APIs

    Apigee X s'appuie sur le CDN de Google pour optimiser la disponibilité et la performance des APIs. L'utilisateur peut déployer son API dans 24 régions et améliorer le caching sur plus de 100 points de présence. La plateforme offre une approche intégrée pour sa sécurité et permet d'utiliser Cloud Armor, le WAF (Web Application Firewall) de Google et la solution de gestion des identités et des accÚs Cloud Identity and Access Management, toujours de Google.

    Le contrĂŽle sur les donnĂ©es chiffrĂ©es gĂ©nĂ©rĂ©es par CMEK, le gestionnaire des clĂ©s de chiffrement de Google, est renforcĂ© pour les administrateurs tout en leur permettant de stocker les donnĂ©es dans la rĂ©gion de leur choix et de contrĂŽler le rĂ©seau par lequel l'utilisateur va accĂ©der Ă  ces donnĂ©es par les services de contrĂŽle VPC qui permettent de limiter les risques d'exfiltration de donnĂ©es Ă  partir de services Google Cloud tels que Cloud Storage et BigQuery.

    La plateforme présente des fonctions d'automatisation qui s'appuient sur les éléments d'apprentissage machine et d'intelligence artificielle de Google pour analyser l'historique des métadonnées de l'API pour détecter des anomalies ou comprendre que c'est un pic saisonnier. La solution assure de plus la conformité laissant ainsi les administrateurs ou les personnes en charge de la sécurité s'occuper de tùches moins triviales.

    Vue du suivi des traces offline dans Apigee.
  • Google : les raisons de la panne

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    Lundi 14 décembre, la majeure partie des services de Google est tombée en panne. Les raisons de ce dysfonctionnement, qui a duré 40 minutes, une éternité pour certains, sont désormais expliquées par le géant de Mountain View, qui désigne comme coupable son systÚme d'authentification.

    Le 14 dĂ©cembre, pendant prĂšs de 50 minutes, bon nombre de services Google sont tombĂ©s en rade. Gmail, YouTube, Doc, Drive, Agenda ou encore Sheets, ainsi que certains outils entreprises, Ă  l’instar de Google Cloud Console ou de Google Workspace Ă©taient inaccessibles, tandis que BigQuery et GKE (Google Kubernetes Engine) tournaient au ralenti. Leur point commun ? Tous utilisent le systĂšme d’authentification Google OAuth.

    Le service Google User ID gĂšre un identifiant unique pour chaque compte Google ainsi que les informations d'authentification pour les jetons et cookies OAuth. Les donnĂ©es de compte sont stockĂ©es dans une base de donnĂ©es distribuĂ©e qui utilise les protocoles Paxos pour coordonner les mises Ă  jour de ces informations, rejetant les requĂȘtes lorsqu’il dĂ©tecte des donnĂ©es obsolĂštes, sĂ©curitĂ© oblige. 

    La faute Ă  Paxos

    Cela dit, Google signale qu’il utilise une suite d’outils pour automatiser la gestion des quotas des ressources qu’il alloue Ă  ses diffĂ©rents services. Or, alors qu’il migre vers un nouveau systĂšme de quotas en octobre, certains des anciens Ă©lĂ©ments de quotas sont laissĂ©s en place, signalant Ă  tort l’usage pour l’User ID Service Ă  0. Soit un scĂ©nario dit “à charge nulle” que ne couvrait pas les mĂ©canismes de sĂ©curitĂ© en place. 

    AprĂšs une pĂ©riode “de grĂące” sur l’application des restrictions de quotas dans le cadre de cette migration, qui retarde la catastrophe, l’automatisation reprend son cours, avec une soudaine rĂ©duction des quotas des services dont l’utilisation est signalĂ©e Ă  0. Ce qui diminue le quota autorisĂ© pour le service d'identification de l'utilisateur. “Peu de temps aprĂšs, la majoritĂ© des opĂ©rations de lecture sont devenues obsolĂštes, ce qui a entraĂźnĂ© des erreurs lors des recherches d'authentification” Ă©crit Mountain View

    “Par consĂ©quent, nous n'avons pas pu vĂ©rifier que les demandes des utilisateurs Ă©taient authentifiĂ©es et affichions des erreurs 5xx sur pratiquement tout le trafic authentifiĂ©â€ poursuit Google. Bilan, des taux d’erreur Ă©levĂ©s sur l’ensemble des services grand public de Google, et sur une partie des outils de Google Cloud. 

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  • Google a finalisĂ© le rachat de Mandiant

    Les deux entitĂ©s ambitionnent de fournir une suite d’opĂ©ration de sĂ©curitĂ© de bout Ă  bout au sein de Google Cloud.

  • Google Ă  nouveau Ă©pinglĂ© par la Commission europĂ©enne

    La Commission europĂ©enne a ouvert une enquĂȘte pour pratiques anticoncurrentielles dans la publicitĂ© en ligne Ă  l’encontre de Google. La deuxiĂšme fois en quatre ans.

    Bis repetita. Quatre ans aprĂšs l’avoir condamnĂ© Ă  2,4 milliards d’euros d’amende pour abus de position dominante sur le terrain des comparateurs de prix e-commerce et pour laquelle Google a fait appel en 2019, voici que la Commission europĂ©enne revient mettre son nez dans les affaires de Google.

    La CE a ouvert une enquĂȘte pour abus de pratiques anticoncurrentielles en matiĂšre d’affichage de publicitĂ© en ligne, a-t-elle annoncĂ© dans un communiquĂ©, mardi 22 juin. Google "est prĂ©sent Ă  presque tous les niveaux de la chaĂźne de fourniture en ce qui concerne l'affichage publicitaire en ligne. Nous craignons (qu'il) n'ait rendu l'exercice d'une concurrence (...) plus difficile pour les services (...) concurrents", a dĂ©clarĂ© la commissaire europĂ©enne Ă  la Concurrence, Margrethe Vestager.

    Google Ad dans la ligne de mire

    La Commission europĂ©enne a Ă©galement annoncĂ© se concentrer sur plusieurs services de Google, dont Display & Video 360 ou encore Google Ad, deux services publicitaires sur la plateforme YouTube. Elle se concentrera Ă©galement sur l’utilisation d’AdX ou certaines restrictions Ă©mises par Google quant Ă  la collecte de donnĂ©es de la part de tiers.

    Aucune date de fin de procĂ©dure n’a Ă©tĂ© communiquĂ©e. Google a dĂ©clarĂ© qu’il coopĂšrerait de maniĂšre constructive avec la Commission europĂ©enne.

    Au dĂ©but du mois de juin, l'AutoritĂ© de la concurrence, autoritĂ© administrative française chargĂ©e de lutter contre les pratiques anticoncurrentielles, avait dĂ©jĂ  condamnĂ© Google Ă  une amende de 220 millions d’euros pour abus de position dominante sur le secteur de la publicitĂ© en ligne.

  • Google abandonne son app Shopping

    Le gĂ©ant de Mountain View lĂąche la trĂšs peu connue application Google Shopping. D’abord en catimini, puis en annonçant officiellement la fin du support de cette app Android et iOS.

    Google Shopping est bien connue, ne serait-ce que pour ses apparitions rĂ©pĂ©tĂ©es lors de recherches via le moteur de Mountain View ou pour l’amende infligĂ©e Ă  Google par la Commission europĂ©enne. NĂ©anmoins l’application mobile dĂ©diĂ©e est, quant Ă  elle, passĂ©e inaperçue. Tant et si bien que, faute de public, l’éditeur a dĂ©cidĂ© de l’abandonner.

    Et ce sans tambours ni trompettes, puisque la derniĂšre version de l’application affiche le message « Something went wrong », renvoyant les utilisateurs vers la version web du comparateur de prix de Google. Ce changement rapportĂ© par le site spĂ©cialisĂ© XDA a par la suite Ă©tĂ© confirmĂ© par Google.

    Tout dans le navigateur

    « Dans les prochaines semaines, nous ne prendrons plus en charge l'application Shopping » explique Google dans un communiquĂ©. Il n’explique pas pour autant les raisons de cet abandon. D’autant que l’application compte, sur Android, un million de tĂ©lĂ©chargements. Mais le gĂ©ant semble vouloir privilĂ©gier l’outil Shopping dans son navigateur.

    « Toutes les fonctionnalitĂ©s offertes aux utilisateurs par l'application sont disponibles dans l'onglet Shopping. Nous continuerons Ă  dĂ©velopper des fonctionnalitĂ©s dans l'onglet Shopping et d'autres supports Google, y compris l'application Google, qui permettent aux internautes de dĂ©couvrir et d'acheter facilement les produits qu'ils aiment » se contente d’ajouter Google.

  • Google achĂšte Dataform

    TrĂšs discrĂštement, Google, par sa division Google Cloud, vient de reprendre une start-up anglaise, Dataform, qui dĂ©veloppe un « OS » pour les entrepĂŽts de donnĂ©es. Aucun dĂ©tail n’a Ă©tĂ© donnĂ© sur la transaction.


    Guillaume-Henri Huon, CEO et co-fondateur de Dataform

    CrĂ©Ă©e il y a 3 ans, la sociĂ©tĂ© Dataform Ă©tait dĂ©jĂ  partenaire de Google Cloud. Dataform s’était donnĂ© pour mission de dĂ©velopper un logiciel de gestion complet des flux de donnĂ©es des entrepĂŽts de donnĂ©es dans un seul workflow unifiĂ©. Ce workflow dĂ©bute dĂšs la prĂ©paration des donnĂ©es brutes avant leur transformation afin de les rendre utilisables dans les entreprises.

    Un seul problĂšme pour Dataform, l’entreprise n’avait pas assez de ressources pour dĂ©velopper ses idĂ©es et produits. Il est apparu que la force de frappe des Ă©quipes expĂ©rimentĂ©es de Big Query et de Cloud Analytics combinĂ©e aux idĂ©es de Dataform pouvait fournir une solution excellente. La sociĂ©tĂ© n’a, Ă  ce jour, levĂ© qu’un fond d’amorçage de 2 M$ selon Crunchbase.

    Si des changements sont Ă  prĂ©voir Ă  l’avenir, la solution de Dataform va continuer Ă  ĂȘtre gratuite. Les clients existants vont ĂȘtre migrĂ©s vers ce programme de gratuitĂ©. La solution va principalement se concentrer sur le support de Big Query et va travailler de maniĂšre trĂšs proche avec les Ă©quipes de Google Cloud Analytics pour dĂ©velopper la vision de Dataform dans Google Cloud.

  • Google admet des discriminations salariales et Ă  l'embauche et versera 2,5 M$ aux victimes

    Le géant américain a accepté de payer 2,5 millions de dollars aprÚs la découverte de discriminations salariales envers les femmes et les membres de la communauté asiatique.

    La facture n’est peut ĂȘtre qu’une infime goutte d’eau dans les ocĂ©ans de revenus de Google mais elle est a permis de mettre en lumiĂšre l’existence d’un systĂšme discriminatoire Ă  l’encontre de certains employĂ©s de certains de ses Ă©tablissements.

    Google a conclu un accord avec le DĂ©partement du Travail amĂ©ricain (Department of Labor - DOL) et acceptĂ© de payer 2,5 millions de dollars de compensations salariales aprĂšs que ce dernier a dĂ©couvert l’existence de discriminations salariales ainsi qu’à l’embauche envers les femmes et des membres de la communautĂ© asiatique, le DOL a-t-il rĂ©vĂ©lĂ© dans un communiquĂ© de presse, le 1er fĂ©vrier.

    Les ingénieures touchées

    Le DOL a conclu qu’un systĂšme de discrimination salariale affectait particuliĂšrement les femmes ingĂ©nieures des Ă©tablissements de Mountain View, Seattle et Kirkland, dans l’État de Washington et qu'il existait des pratiques de discrimination Ă  l’embauche Ă  l’encontre des femmes et des membres de la communautĂ© asiatique Ă  San Francisco, Sunnyvale et Kirkland.

    L’amende est divisĂ©e en deux parties : 1,3 million de dollars seront reversĂ©es Ă  2565 femmes ayant subi des discriminations salariales et 1,2 million seront allouĂ©s Ă  1757 femmes et 1219 Asiatiques, tous candidats pour des postes d’ingĂ©nieurs chez Google.

    Google devra également allouer un fonds de 1,25 million de dollars visant à garantir un systÚme de rémunération équitable de ses ingénieurs à Kirkland, Mountain View, Seattle et New York pour les cinq prochaines années.

    Un contexte tendu

    Cette amende tĂ©moigne d’un effort supplĂ©mentaire des pouvoirs publics amĂ©ricains de rĂ©guler davantage l’une des entreprises du Big Tech aprĂšs l’ouverture d’un enquĂȘte pour abus de position dominante contre Google par le dĂ©partement de la justice amĂ©ricain en octobre dernier ainsi que contre Facebook par la Federal Trade Commission, en dĂ©cembre dernier.

    La dĂ©cision du DOL tombe Ă©galement dans un contexte de forte remise en question des pratiques de l’entreprise. En janvier dernier, 227 salariĂ©s d’Alphabet – maison-mĂšre de Google – avaient formĂ© un syndicat ouvert aux employĂ©s et travailleurs contractuels pour protester contre plusieurs dĂ©cisions controversĂ©es de la direction.

    Une agence fédérale avait également épinglé Google pour surveillance de ses employés.

  • Google ajoute des fonctions Zero Trust Ă  Remote Access

    Google annonce la disponibilité générale de BeyondCorp Enterprise, une offre de produits de protection zéro confiance de Google, qui étend et remplace BeyondCorp Remote Access.

    La solution profite des années d'expérience de Google. BeyondCorp Enterprise est d'ailleurs la solution utilisée en interne par Google. Sunil Potti, vice-président dans le département Cloud Security chez Google et directeur général, résume les différentes fonctions de BeyondCorp Enterprise : "la solution combine les fonctions de sécurité embarquées dans Chrome, des fonctions de proxy, de protection de trafic en provenance d'Internet, applique les politiques de sécurité dans le Cloud s'appuyant sur le contrÎle d'identité et des accÚs et analyse le contexte d'utilisation".

    ConcrĂštement la solution propose une protection embarquĂ©e contre les menaces pesant sur les donnĂ©es, Ces fonctions nouvellement ajoutĂ©es Ă  Chrome, prĂ©viennent les pertes de donnĂ©es malveillantes ou involontaires, tout comme leur exfiltration et leur infection par des logiciels malveillants du rĂ©seau vers le navigateur. Une authentification forte rĂ©sistante au phishing assure que les utilisateurs sont bien ceux qu'ils prĂ©tendent ĂȘtre. Une autorisation continue pour chaque interaction entre un utilisateur et une ressource protĂ©gĂ©e par BeyondCorp est mise en oeuvre. Une sĂ©curitĂ© de bout en bout, de l'utilisateur Ă  l'application et de l'application Ă  l'application (y compris la microsegmentation), inspirĂ©e de l'architecture BeyondProd est assurĂ©e. Une gestion du cycle de vie des certificats SSL de confiance publique pour les terminaux BeyondCorp connectĂ©s Ă  l'internet est automatisĂ©e grĂące aux services Google Trust Services.

    Une alliance avec les éditeurs spécialisés

    Une alliance de divers partenaires de la solution permet aux clients de tirer parti des contrÎles existants pour une adoption simplifiée de la technologie tout en ajoutant des fonctionnalités et des renseignements clés qui leur permettent de prendre de meilleures décisions en matiÚre d'accÚs. Check Point, Citrix, CrowdStrike, Jamf, Lookout, McAfee, Palo Alto Networks, Symantec, Tanium et VMware sont membres de cette Alliance.

    Par exemple, Tanium vĂ©rifie Ă  la fois l'identitĂ© de l'utilisateur et le niveau de sĂ©curitĂ© du matĂ©riel utilisĂ© pour accĂ©der Ă  une application protĂ©gĂ©e par BeyondCorp Enterprise au moyen de sa plate-forme CASB (Cloud Access Security Broker). JĂ©rĂŽme Warot VP et Technical Account Manager chez Tanium France, prĂ©cise : "plutĂŽt que de faire eux-mĂȘmes, les Ă©quipes de Google ont prĂ©fĂ©rĂ© discuter avec d'autres Ă©diteurs sur ce qu'ils font trĂšs bien".

    Les différentes fonctions dans BeyondCorp Enterprise.
  • Google amĂ©liore sa solution workspace avec Smart Canvas

    A l'occasion de sa conférence Google I/O, qui a débuté hier, Google a présenté Smart Canvas.

    Smart Canvas est un ensemble de nouvelles fonctions pour améliorer l'expérience d'utilisation de Workspace. La premiÚre amélioration est l'ajout de puces intelligentes dans Docs pour recommander aux utilisateurs une liste de fichiers, de personnes et de réunions à inclure dans leur tùche en tapant @. Les puces intelligentes seront également disponibles dans Sheets dans les prochains mois.

    Des listes de contrĂŽle aident les utilisateurs Ă  se saisir rapidement des tĂąches Ă  accomplir dans Docs. Cette fonctionnalitĂ© sera bientĂŽt intĂ©grĂ©e Ă  Google Tasks, ce qui permettra aux Ă©quipes d’assigner des missions Ă  des personnes spĂ©cifiques et de mieux gĂ©rer les actions Ă  rĂ©aliser dans Google Workspace.

    Des modĂšles de tableaux dans Docs permettent aux utilisateurs de crĂ©er des tableaux de vote par thĂšme pour rassembler les commentaires de l’équipe et Ă©laborer des tableaux de suivi de projet pour aider les utilisateurs Ă  visualiser les Ă©tapes clĂ©s et les statuts rapidement. Un nouveau modĂšle de document permettant d’enregistrer des notes de rĂ©union etimportera automatiquement toute information pertinente Ă  partir d’une invitation Ă  une rĂ©union figurant dans le calendrier.

    Docs supporte maintenant un format sans page qui permet aux utilisateurs de supprimer les limites d’une page pour crĂ©er une surface qui s’adapte aux contours de n’importe quel appareil ou Ă©cran. Une vue chronologique va simplifier et accĂ©lĂ©rer le suivi des tĂąches, en permettant aux utilisateurs d’organiser les donnĂ©es par propriĂ©taire, catĂ©gorie, campagne ou tout autre attribut dans Sheets. Il sera possible de prĂ©senter des contenus Ă  partir de Docs, Sheet et Slides et du Web dans Meet. A l'automne prochain Meet sera directement disponible Ă  partir de ces outils.

    La solution comporte encore bien d'autres nouveautés pour Docs dont des fonctions supplémentaires d'aide à l'écriture et d'analyse assistée dans Sheets.

    Une vue de l'outil d'aide Ă  l'Ă©criture.
  • Google Cloud crĂ©e une Ă©quipe dĂ©diĂ©e Ă  la blockchain

    Google Cloud a annoncĂ© avoir formĂ© une Ă©quipe afin de dĂ©velopper diverses activitĂ©s autour de la technologie blockchain.  

  • Google dĂ©voile Stack, une appli pour gĂ©rer la "paperasse" avec son mobile

    DĂ©veloppĂ©e par l’incubateur Area 120, l’application permet de digitaliser vos documents et de les sauvegarder automatiquement dans Google Drive.

    « Avez-vous dĂ©jĂ  perdu un ticket de remboursement ? Mal rangĂ© une feuille d’impĂŽt ? Ou oubliĂ© de les payer et reçu une amende ? J’ai fait les trois (plus d’une fois) ». Christopher Pedregal a bien senti cette tendance des individus Ă  Ă©parpiller, laisser traĂźner ou Ă©garer des documents administratifs.

    Google va donc lancer Stack, une application dĂ©diĂ©e Ă  tous les documents familiĂšrement qualifiĂ©s de « paperasse » par l’intermĂ©diaire de son incubateur-maison Area 120, a-t-elle rĂ©vĂ©lĂ© en dĂ©but de semaine dans un billet de blog. L’application est dĂ©veloppĂ©e par Socratic, avec Ă  sa tĂȘte Christopher Pedregal qui Ă©tait chez Google avant d’en prendre la tĂȘte. Socratic a Ă©tĂ© rachetĂ©e par Google en aoĂ»t 2019.

    Extraire, stocker, ranger

    Stack s’annonce comme une application capable de catĂ©goriser vos documents en permettant de les scanner et de les stocker dans une catĂ©gorie dĂ©diĂ©e. Stack devrait Ă©galement repĂ©rer les informations les plus importantes de chaque document pour les mettre en lumiĂšre plus facilement. Les documents sont stockĂ©s sur Google Drive et protĂ©gĂ©s par un systĂšme de connexion Ă  empreinte digitale ou reconnaissance faciale.

    Christopher Pedregal a collaborĂ© avec Matthew Cowan. Tous deux ont travaillĂ© chez Google sur DocAI, une Ă©quipe de Google Cloud qui analysait des milliards de documents grĂące Ă  l’intelligence artificielle.

    L’application est actuellement disponible en test sur Android. Elle sera conservĂ©e ou non en fonction des retours utilisateurs.

  • Google enchaĂźne les partenariats

    Google n'en finit plus de signer des accords de partenariats importants. Ils représentent souvent un approfondissement d'un partenariat existant. Exemples avec SAP et Palo Alto Networks.

  • Google enrichit Workspace

    Une vue des nouvelles fonctions de gestion des temps de Google Workspace.

    Google ajoute de nouvelles fonctions Ă  son application Workspace permettant ainsi aux employĂ©s, en prĂ©sentiel ou Ă  distance, de mieux gĂ©rer leur temps, de mobiliser leur attention et d'Ă©tablir des liens plus Ă©troits entre eux, quel que soit l’endroit oĂč ils se trouvent.

    Google Workspace Frontline est une nouvelle offre Ă  destination des utilisateurs enclins Ă  utiliser des terminaux personnels pour accĂ©der aux informations dont ils ont besoin, de façon sĂ©curisĂ©e ou en vue d'ouvrir des canaux de communication et de collaboration entre les employĂ©s et les Ă©quipes de direction. Elle inclut les applications de collaboration et de communication telles que Gmail, Chat, Drive ainsi qu’un support technique de niveau entreprise et des fonctionnalitĂ©s de sĂ©curitĂ© telles que la gestion avancĂ©e du terminal pour permettre de maintenir la sĂ©curitĂ© des donnĂ©es de l’entreprise. 

    Des fonctions de gestion des temps

    La solution intĂšgre des fonctions qui permettent Ă  l'utilisateur d'optimiser son temps comme celle d’indiquer quand il est connectĂ© et disponible pour des rĂ©unions et d'indiquer les plages rĂ©currentes oĂč il n'est pas disponible, la solution dĂ©clinant automatiquement dans ce cas les demandes de rĂ©union. La solution indique de plus quand l'utilisateur est en tĂ©lĂ©travail ou sur site.

    Une intĂ©gration avec Google Assistant est laissĂ© Ă  la libre disposition et dĂ©cision de l’utilisateur. Elle lui permet de demander les prochains RDV de son agenda, d’envoyer des messages ou de rejoindre une rĂ©union en quelques mots.

    La solution supporte un deuxiĂšme Ă©cran pour suivre ou organiser des rĂ©unions sur diffĂ©rents terminaux. L'ajout de questions-rĂ©ponses, de sondages et de sous-titres (en anglais, français, espagnol, portugais et allemand) en direct dans Google Meet offre la possibilitĂ© d’organiser des rĂ©unions plus adaptĂ©es qui rĂ©pondent aux besoins de chacun des participants.

  • Google fait Ă©voluer Workspace

    Le gĂ©ant de Mountain View sort sa suite collaborative du monde des entreprises pour la proposer aux Ă©tudiants, aux enseignants, aux indĂ©pendants
 bref, Ă  tous. Le tout s’accompagne de nouveautĂ©s Ă  tous les Ă©tages, du chiffrement cĂŽtĂ© client aux nouveaux Spaces en passant par une nouvelle formule d’abonnement.

    Ouf, Google ne change pas Ă  nouveau le nom de sa suite bureautique collaborative. Car en l’espace de quelques annĂ©es, Google Apps for Work est devenu G Suite, avant d’ĂȘtre renommĂ© Google Workspace en octobre 2020. Cette fois-ci, pas de « rebranding », mais une sĂ©rie de nouveautĂ©s
 qui risque Ă©ventuellement de crĂ©er une certaine confusion puisque Workspace, perçu comme un outil destinĂ© aux professionnels, se veut dĂ©sormais « accessible Ă  tous ».

    Non pas que les frontiĂšres Ă©taient auparavant clairement dĂ©limitĂ©es : on retrouve dans Workspace les mĂȘmes fonctionnalitĂ©s que dans la suite grand public, Ă  savoir les Gmail, Meet, Agenda, Drive, Docs, Sheets, Chat
 Seules diffĂ©rences, une tarification et des services premium, tournĂ©s vers les professionnels. « Ă€ partir d'aujourd'hui, Google Workspace est accessible Ă  toute personne possĂ©dant un compte Google Â» explique le gĂ©ant de Mountain View.

    Pour tous

    « La collaboration ne se limite pas au lieu de travail - nos produits ont donc Ă©tĂ© optimisĂ©s pour permettre au plus grand nombre de participer, de partager et de s’entraider depuis leur conception. Notre objectif est de fournir aux utilisateurs de Workspace, aux professionnels, aux enseignants et aux Ă©tudiants une approche Ă©quitable de la collaboration, tout en leur offrant une flexibilitĂ© qui leur permette d'adopter leur propre approche de la communication et de la collaboration Â» insiste Javier Soltero, le patron de Google Workspace.

    Plus concrĂštement, rien ne change au niveau de Workspace, sinon qu’il n’est plus nĂ©cessaire d’ĂȘtre une entreprise pour accĂ©der Ă  la plateforme. Par ailleurs, Google lance une nouvelle formule d’abonnement individuel, Workspace Individual, qui s’adresse notamment aux indĂ©pendants. L’offre comprend « des fonctionnalitĂ©s haut de gamme, notamment des services de rĂ©servation intelligents, des rĂ©unions vidĂ©o professionnelles et un marketing par e-mail personnalisĂ©, ainsi que d'autres nouveautĂ©s en cours de dĂ©veloppement » et sera « bientĂŽt disponible dans six pays : les États-Unis, le Canada, le Mexique, l'Australie, le BrĂ©sil et le Japon ».

    Des salons et de la sécurité

    Evidemment, ces annonces s’accompagnent d’une palanquĂ©e de nouveautĂ©s, Ă  commencer par les Spaces dans Google Chat. Ceux-ci remplacent les Salons habituels, se dotant d’une interface utilisateur simplifiĂ©e et flexible et de fonctionnalitĂ©s telles que l’agrĂ©gation des fils de discussion autour d’un sujet donnĂ©, des indicateurs de prĂ©sence, des statuts personnalisables, les rĂ©actions, etc. « Les Spaces vont donc constituer un espace privilĂ©giĂ© pour le partage des connaissances et la cohĂ©sion des Ă©quipes quelle que soit leur taille. De plus, toutes les informations, les conversations et les fichiers pertinents pour un projet peuvent ĂȘtre organisĂ©s Â» ajoute Google.

    Google Meet a lui aussi droit Ă  quelques nouveaux gadgets, Ă  l’instar d’un mode Compagnon qui permettra lors de rĂ©unions hybrides aux personnes se trouvant en salle de rĂ©union de participer elles aussi aux Ă©changes via l’outil de visio, en rĂ©pondant aux sondages, aux Q&A, au chat Ă©crit, en bĂ©nĂ©ficiant des sous-titres et des mains levĂ©es
 Notons en outre que Meet se dotera (enfin) le mois prochain de contrĂŽles de modĂ©ration permettant d’interdire l’usage du chat, des prĂ©sentations, ainsi que de couper le son des participants. Pour finir, c’est sur la sĂ©curitĂ© que Google planche dans Workspace, avec d’une part un chiffrement cĂŽtĂ© client, y compris sur Google Meet, et d’autre part des rĂšgles de confiances et des labels pour Drive afin de paramĂ©trer qui peut accĂ©der Ă  quel fichier.

  • Google ferme ses studios Stadia

    L’entreprise a annoncĂ© fermer ses deux studios de jeux vidĂ©o mais entend maintenir sa plateforme pour continuer Ă  accueillir les titres d’autres dĂ©veloppeurs.

    Google va fermer les studios de Stadia Games and Entertainment (SG&E), une entreprise membre de son projet Stadia avec pour ambition de développer ses propres jeux vidéo, a annoncé le vice-président de Google Stadia Phil Harrison, dans un communiqué de presse le 1er février, quelques jours aprÚs les révélations du journal Kotaku.

    La dĂ©cision concerne deux studios, Ă  MontrĂ©al et Los Angeles. Stadia n’aura pas eu le temps de produire un seul jeu. Sa plateforme continuera Ă  proposer des jeux en cloud gaming d’autres dĂ©veloppeurs.

    « Créer des jeux vidéo de qualité à partir de rien prend plusieurs années et nécessite un investissement significatif. Et les coûts augmentent de maniÚre exponentielle », a justifié Phil Harrison.

    150 développeurs concernés

    Ce changement pourrait impacter 150 dĂ©veloppeurs selon les informations de KotakumĂȘme si Google a indiquĂ© que la plupart des dĂ©veloppeurs seront affectĂ©s Ă  d’autres tĂąches dans le groupe. Jade Raymond, lĂ©gendaire dĂ©veloppeur et productrice de la sĂ©rie Assassin’s Creed, a quittĂ© l’entreprise, a prĂ©cisĂ© Phil Harrison.

    LancĂ© en novembre 2019, Stadia propose de jouer en stream sur n’importe quel Ă©cran avec la qualitĂ© des jeux consoles, de quoi le qualifier de « Netflix du jeu vidĂ©o » par la communautĂ©. En France, il proposait depuis le 19 novembre 2019 un catalogue d’une trentaine de jeux pour 9,99 euros par mois.

  • Google financerait (sans le savoir) de la dĂ©sinformation pro-russe

    Selon un rapport de NewsGuard, une entreprise spĂ©cialisĂ©e dans l'analyse des sources d’informations, Google et d’autres plateformes publicitaires financent de la propagande russe.

  • Google force YouTube Vanced Ă  fermer

    L’application Android YouTube Vanced permettait de profiter des fonctionnalitĂ©s de YouTube Premium sans avoir Ă  payer.

  • Google Maps pour informer les russes sur le conflit en Ukraine

    Pour contourner la censure, des hackers du groupe Anonymous et des internautes appellent Ă  informer la population russe sur l'invasion en Ukraine Ă  l'aide des avis de Google Maps. Explications.