Atos

  • 3 acquisitions pour Atos : cv cryptovision, Processia et Ipsotek

    Le campus d'Atos à Bezons, en région parisienne.

    L'ESN a indiqué lors de la présentation de ses résultats trois rachats ciblés dans différents domaines : la cybersécurité, la transformation numérique et l'Edge computing.

    Si les résultats financiers présentés ont déçu les observateurs boursiers, Atos veut continuer d'aller de l'avant avec une revue stratégique de ses organisations en dehors de son coeur de métier et annonce trois rachats ciblés.

    Atos a signé un accord en vue d’acquérir cv cryptovision GmbH, un spécialiste des produits et solutions cryptographiques de pointe pour la sécurisation des identités numériques. Cette acquisition vient renforcer le portefeuille de produits de cybersécurité d’Atos ainsi que les activités de l'entreprise sur le marché du secteur public et de la défense en Europe.

    Conformément à la stratégie sectorielle d'Atos, l'acquisition de Processiava renforcer la capacité du groupe à accompagner la transformation digitale des entreprises industrielles, accélérant leur entrée dans l’ère de l’Industrie 4.0. Les compétences de Processia viendront enrichir la division « PLM et solutions d'ingénierie » d’Atos, complétant ses offres de services actuelles de technologies Siemens, PTC et Dassault Systèmes.

    Enfin Atos va acquérir Ipsotek, fournisseur de logiciels d'analyse vidéo enrichis par intelligence artificielle. Cette acquisition permettra à Atos d’intégrer de nouvelles capacités logicielles et des actifs de propriété intellectuelle pour renforcer son portefeuille de solutions dans le domaine de l’intelligence artificielle et du machine learning en périphérie de réseau (Edge AI/LM), notamment en vision artificielle.




  • 6ème acquisition pour Atos dans la sécurité

    Atos a finalisé la reprise d’un éditeur allemand de solutions de chiffrement cv Cryptovision Gmbh.

  • Airbus ne veut pas des activités BDS d’Atos

    La fin des discussions qui portaient sur l’acquisition de ses activités cybersécurité, big data et HPC est un énième coup dur pour la SSII qui lutte toujours avec une dette colossale de 4,65 milliards d’euros.

  • Atos abandonne son projet de rachat de DXC Technology

    L’ESN américaine estimait que l’offre du Français la sous-évaluait : Atos a finalement abandonné son projet d’acquisition. 

    Début janvier, on apprenait par voie de communiqué qu’Atos prévoyait de mettre la main sur DXC Technology. Cette ESN américaine, présente dans 70 pays auprès de 6000 clients, offrait au Français de nouvelles perspectives de développement aux États-Unis. Car, entre la condamnation de Syntel et les « baisses de projets et de volumes en Ressources & Services, en Services Financiers & Assurances et en Industrie » au troisième trimestre 2020, Atos est à la peine de l’autre côté de l’Atlantique.

    Fin de la discussion 

    Malheureusement pour l’ESN française, DXC n’est pas intéressé. L’entreprise a fait savoir dans un communiqué que son Board of Directors a « soigneusement évalué la proposition avec ses conseillers financiers et juridiques», avant de décider que l’offre d’Atos était « inadéquate», DXC estimant qu’elle ne présentait pas les garanties suffisantes en termes de création de valeur « à la lumière de la valeur que le conseil estime que DXC peut créer de manière autonome en exécutant son parcours de transformation».

    Après avoir signifié à Atos que sa proposition sous-évaluait DXC, les deux entreprises ont décidé de mettre fin à leurs échanges, l’ESN française abandonnant son projet de rachat. D’autant qu’entre temps, elle a mis la main sur le Canadien In Fidem, une proie de taille certes plus modeste, mais qui contrairement à DXC n’est pas endettée à hauteur de 10 milliards de dollars. 

  • Atos apporte sa technologie au WWF

    Atos et le Fonds mondial pour la nature (WWF) annoncent aujourd'hui la signature d'un partenariat stratégique qui consistera, pour les trois prochaines années, à tirer parti de la technologie pour soutenir la conservation de la biodiversité et encourager les efforts de décarbonation des entreprises.

  • Atos de nouveau tenté par l’aventure américaine

    Le géant français pourrait, deux ans après le rachat de Syntel, réaliser une nouvelle opération de croissance externe aux Etats-Unis. Sa cible : DXC Technology, une ESN basée en Virginie. L’opération permettrait à Atos de s’étendre sur le marché américain et de s’emparer des 6000 clients que compte DXC à travers le monde. Toutefois, l’entreprise américaine est endettée, ce qui n’est pas pour rassurer les marchés financiers.

    En 2018, Atos s’était déjà lancé en Amérique du Nord en mettant la main pour 3,4 milliards de dollars. Somme à laquelle l’ESN a dû en octobre dernier ajouter 855 millions de dollars au titre de la condamnation de Syntel par la justice américaine pour vol de propriété intellectuelle. Atos a mal pris la nouvelle.

    D’autant qu’en Amérique du Nord, le temps n’est pas au beau fixe pour l’entreprise française : son chiffre d’affaires dans la région a diminué de 7,8% au troisième trimestre 2020, par rapport à l’année précédente. « La situation a été plus difficile en Amérique du Nord avec des baisses de projets et de volumes en Ressources & Services, en Services Financiers & Assurances et en Industrie Â» écrivait Atos fin octobre.

    Et voici qu’Atos pourrait encore se laisser tenter par une acquisition américaine. L’ESN a réagi par voie de communiqué à une rumeur persistante en ce début d’année de discussions avec DXC Technology, l’un de ses concurrents américains. Atos confirme « avoir approché DXC Technology concernant une transaction amicale potentielle entre les deux groupes afin de créer un leader des Services Digitaux bénéficiant d’une envergure mondiale, et combinant leurs talents et capacité d’innovation respectives ».

    10 milliards de dette

    Les marchés financiers ont suivi, sanctionnant le projet d’Atos dont le cours a reculé de 2% aujourd’hui à la mi-journée. Car DXC, bien que présente dans 70 pays auprès de 6000 clients, affiche une perte nette de 5,3 milliards de dollars sur l’année 2020, et continue de creuser sa dette, qui s’élève désormais à près de 10 milliards de dollars, contre 2,6 milliards en 2016. La mauvaise santé financière de l’ESN américaine inquiète les investisseurs dans la perspective d’un rachat par Atos, bien que ce dernier assure qu’il « appliquera la discipline financière qu’il a toujours respectée dans sa stratégie d’acquisitions Â».

    DXC a indiqué dans un communiqué avoir bien reçu « une proposition non sollicitée, préliminaire et non contraignante d'Atos SE mercredi soir pour acquérir toutes les actions DXC Technology Â» que son conseil d’administration examine. Atos, de son côté, ajoute que, Â« Ã  ce stade, il n’existe aucune certitude que cette approche débouchera sur un accord ou une transaction Â».

  • Atos et APL Data Center sont sélectionnés par l’UGAP

    L’ESN et le cabinet de conseil en datacenters et en solutions d'hébergement informatique ont été retenus par l’UGAP, la centrale d’achats des services publics pour une durée de trois ans.

  • Atos et Graphcore partenaires autour du HPC

    Atos et Graphcore deviennent partenaires avec la signature d’un partenariat stratégique qui vise à proposer des solutions de calcul haute performance (HPC) basées sur l’IA à leurs clients.

  • Atos et HDF développent une solution pour les centres de données


    Atos et HDF Energy annoncent aujourd’hui leur volonté de développer une solution complète pour alimenter, dans la durée, des centres de données avec de l’hydrogène généré par des énergies renouvelables. Les deux entreprises ont pour objectif la mise en opération, dès 2023, d’un premier centre fonctionnant à l'hydrogène vert.

    HDF développe et exploite des centrales électriques Hydrogen-to-Power de grande capacité, pour fournir une électricité continue ou à la demande à partir d’énergies renouvelables, associées à des piles à combustible de forte puissance.

    Dans cette solution Atos va concevoir et fournir le matériel, les logiciels et les services d'intégration qui permettent d'exploiter l'électricité produite à partir d'hydrogène vert, en s’appuyant notamment sur des technologies d'intelligence artificielle pour optimiser la consommation. HDF apportera la centrale électrique fournissant une électricité prévisible et stable grâce à des piles à combustible de forte puissance alimentées par cet hydrogène vert, issu de parcs photovoltaïques ou éoliens.

    L'approche adoptée par Atos et HDF, qui repose sur des sources d’énergie intermittentes, est particulièrement ambitieuse. La solution d'Atos comprend une couche logicielle qui vise à prévoir les besoins électriques du datacenter et à adapter la ressource (l’hydrogène vert) en conséquence. Ce processus complexe n'est pas seulement basé sur l'activité et la taille du datacenter, mais prend également en compte des données externes liées à l'environnement, comme les prévisions météorologiques. Les contraintes de disponibilité du datacenter seront intégrées dans la conception de la centrale afin d'offrir le plus haut niveau de service pour les clients les plus exigeants.

  • Atos et IBM renforcent leurs liens

    Les deux sociétés veulent renforcer leurs liens au niveau mondial pour aider le secteur financier à se transformer mais aussi à élever son niveau de sécurité et de conformité. Concrétisation de ces liens Atos ouvre un centre d’excellence autour de ce thème.