Les graphes ne sont peut-être pas le futur des bases de données, mais ils ont le mérite de faciliter le traitement de données complexes et connectées à des coûts bien moindres qu’en utilisant des bases relationnelles classiques. Le Graph, c’est merveilleux… mais non interopérable en raison des langages divers et variés existants. Le futur standard GQL pourrait bien régler ce problème.

Le fournisseur de bases de données de graphes réalise un nouveau tour de table de 325 M$.

Mené par Eurazeo et GV, un fonds de Google, ce tour de table de série F marque le plus important investissement dans une société non cotée de base de données et porte la valorisation de Neo4j à plus de 2 milliards de dollars. Le tour de table est soutenu par plusieurs investisseurs déjà présents et de nouveaux investisseurs dont le fonds de Deutsche Telekom et Lightrock.

Accélérer le développement

Les fonds vont être employés pour fournir un portfolio de services multicloud, promouvoir une nouvelle génération d'applications intelligentes avec des modèles de machine learning améliorés permettant d'atteindre des prédictions basées sur les relations, d'étendre la présence mondiale de Neo4j et développer un écosystème fort autour des technologies complémentaires et des prestataires de service.

Pour en savoir plus sur les bases de données de graphes et Neo4j, lire l'article paru dans L'Informaticien n°193 (p.58). Également disponible en version web pour les abonnés.

L’éditeur de la solution de base de graphes lance une nouvelle version de son logiciel Aura à destination des data scientists.